Abstract: International audience ; Surfing waves have not yet been systematically used in legal scholarship, atleast not in French-language research. Contrary to a vision based on a kind of legalpositivism that sees the law as an autonomous normative framework, the casesproposed in this article explores the reciprocal relationships between law andsociety. The article therefore aims to raise sociological issues arising from empiricalfieldwork in which waves can be understood in terms of the concept of the"common". As natural resources that are in principle accessible and shared, wavesare therefore res communes. Nevertheless, the cases used for analysis reveal thatwave are sometimes subject to competing interests, wich distance them from theclassical attributes of the commons. ; Les vagues de surf ne sont pas encore mobilisées de manière systématique dans les travaux académiques en droit, à tout le moins dans la recherche francophone. À l'opposé d'une vision adossée à une sorte de positivisme juridique qui pense le droit comme un cadre normatif autonome, les cas proposés dans cet article visent à alimenter des rapports réciproques qui se nouent entre société et droit. Partant, cet article entend soulever des problématiques sociologiques issues de terrains empiriques au sein desquels les vagues peuvent être appréhendées à l'aune du concept de « commun ». Ressources naturelles en principe accessibles et partagées, les vagues sont donc des res communes. Néanmoins, les cas servant à l'analyse démontrent que les intérêts sont parfois tels que les vagues sont éloignées des propriétés classiquement adossées aux communs.
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