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Impact d’un second stade de travail prolongé sur la morbidité périnatale : quelle est notre expérience?
Impact of prolonged second stage of labor on perinatal morbidity : what is our experience ?.

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  • Additional Information
    • Publication Information:
      Université de Liège. Revue Médicale de Liège, 2022.
    • Publication Date:
      2022
    • Abstract:
      editorial reviewed
      [en] OBJECTIVE: the management of the second stage of labor and its optimal duration are controversial, particularly for nulliparous women. Our aim is to analyze the impact of a prolonged second stage on perinatal morbidity in our institution.MATERIAL AND METHODS: this is a retrospective study conducted in the University Hospital of Liège (Belgium) from January to July 2019. The 160 patients included were divided into two groups according to the duration of the second stage and compared in terms of mode of delivery, maternal and neonatal morbidity.RESULTS: group 1 (85 %) had a second stage of labor inferior to 3 hours and group 2 (15 %) ? 3 hours. The cesarean deliveries for non-engagement of the fetus were significantly higher in group 2. No significant difference was observed in terms of maternal morbidity. The median Apgar score at 5 minutes was higher in group 1. The proportion of babies transferred to neonatal intensive care and to the neonatology department was higher in group 2.CONCLUSION: we mainly noted an increase in neonatal morbidity when the second stage exceeded 3 hours, which is consistent with literature where an increase in maternal morbidity is also described. Prolonging the second stage therefore seems inappropriate to us in the current state of knowledge.
      [fr] OBJECTIFS: la gestion du second stade de travail et sa durée optimale sont controversées, particulièrement pour les patientes nullipares. Notre objectif est d’étudier l’impact d’un second stade prolongé sur la morbidité périnatale dans notre institution. Matériel et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective menée au CHU de Liège de janvier à juillet 2019. Les 160 patientes incluses ont été réparties en deux groupes en fonction de la durée du second stade et comparées en termes de mode d’accouchement, morbidité maternelle et néonatale. Résultats : le groupe 1 (85 %) présentait un second stade inf�rieur a 3 heures et le groupe 2 (15 %) ? 3 heures. Les césariennes pour non-engagement étaient significativement plus élevées dans le groupe 2. Aucune différence significative n’a été observée en termes de morbidité maternelle. Le score d’Apgar médian à 5 minutes était plus élevé dans le groupe 1. La proportion de bébés transférés au NIC («Neonatal Intensive Care») et en néonatologie était plus élevée dans le groupe 2.CONCLUSION: nous avons principalement noté une majoration de la morbidité néonatale lorsque le second stade dépassait 3 heures, ce qui rejoint la littérature où l’on décrit, également, une majoration de la morbidité maternelle. Prolonger le second stade nous semble, dès lors, inapproprié dans l’état actuel des connaissances.
    • Relation:
      urn:issn:0370-629X; urn:issn:2566-1566
    • Rights:
      open access
      http://purl.org/coar/access_right/c_abf2
      info:eu-repo/semantics/openAccess
    • Accession Number:
      edsorb.308268